Faciliter l’insertion de tous dans la société

Une idéologie très présente dans notre société française réclame en permanence l’extension des aides et des droits réservés aux plus démunis et l’augmentation des prélèvements à l’encontre des plus aisés. Cette culture d’inspiration marxiste butte sur trois limites :

  1. L’assistanat. Lorsqu’une personne gagne à peine plus en travaillant qu’en vivant uniquement des aides sociales et de la gratuite de divers services, elle ressent douloureusement que la société ne valorise pas son travail mais lui impose plutôt une soumission oisive à un système social sclérosant.
  2. L’abandon des classes moyennes. Les nécessités budgétaires invitent les gouvernants d’une part à restreindre autant que possible les aides sociales à « ceux qui en ont vraiment besoin », d’autre part à répartir la pression fiscale le plus largement possible pour en augmenter la recette. Résultat : les classes moyennes paient de plus en plus et bénéficient de moins en moins des aides publiques.
  3. La fuite des plus aisés. Dans une économie ouverte, singulièrement dans l’Union Européenne et la zone Euro, les Français tirant de forts bénéfices de leur activité ont une grande facilité à choisir dans quel pays payer leurs impôts. C’est pour cela que le premier quinquennat du président Macron a instauré le prélèvement forfaitaire unique (PFU) et ramené le taux de l’impôt sur les sociétés dans la norme européenne (IS à 25 %). Ces mesures ainsi que quelques autres ont efficacement contribué à augmenter la recette fiscale en France.

N’étant pas d’inspiration marxiste, l’Impôt Négatif Français évite ces trois travers en instaurant un dispositif simple protégeant automatiquement les plus fragiles sans jamais les décourager de s’intégrer par l’activité économique. De même, les classes moyenne étant soumises à la même formule de calcul de l’impôt que les autres, elles n’apparaissent plus comme les laissés-pour-compte du système. Enfin, les plus aisés sont intégrés dans le même schéma redistributif que les autres.   

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